Jean Rossignol

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Bangkok, Thailand

"... ตอนนี้การใส่หน้ากากอนามัยได้กลายเป็น UNIFORM ไปแล้ว ..."

"... Porter un masque fait partie de l'uniforme ... ✌️
"... Wearing a mask is part of the uniform ... ✌️

#Bangkok #Virus #Covid19 #Thailand #Portrait #Uniform #Goodlife"

Taluangsuk Borribun (@arms_tal, Instagram) :
https://www.instagram.com/p/B9t2VL5HusF/?utm_source=ig_web_copy_link

#Bangkok #Thailand #Blogger #Gay #LGBT #coronavirus #masks4all #masquespourtous #outandcovered #sortezcouverts #COVID19 #SocialDistancing

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Blog 'Coups de cœur'
C'est très éclectique, résolument tourné vers cette nouvelle modernité qui émerge sans violence et sans fracas. Artistes, Blogueurs, Sports, Séries, Films, TV...
http://lescoupsdecoeurdejr.over-blog.com/

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Blog 'Jean Rossignol'
Mes Photos (Marseille); Mes Coups de Coeur (blogueurs, artistes); Intelligence Globale (IA, Génétique); Laïcité, Santé, LGBT, Politique
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Nous allons avoir dans les prochains jours, mois, une montée des actes homophobes violents à l'aide de couteaux, cuters, acide, de la part de jeunes musulmans djihadistes et dans une moindre mesure d'extrémistes de droite chrétiens

Homophobie

J'ai déjà reçu des menaces et pour l'instant, je m'en suis tiré, tout comme s'en était tiré Charb et les Charlie Hebdo jusqu'au 7 janvier 2015. Il y avait pourtant eu des menaces et des actes violents, comme l'incendie de leur local, des actes étouffés au nom de "l'islamophobie".

C'est et ce sera idem pour les LGBT. Les orgas LGBT, elles mêmes victimes du syndrome de Stockholm, s'associent aux pires homophobes islamistes, racialistes et identitaires. Ces jeunes agresseurs sont très souvent gays ou lesbiennes.

Tout comme Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, Omar Mateen ou Salah Abdeslam, ils expient un péché inventé par leur religion en mutilant ou en tuant les leurs.

Soyons très clair, je dis à tous ceux qui s'associent à cette campagne de désinformation et sont complices des criminels, tout comme les anti vaccins : Vous avez du sang et de la souffrance sur les mains 😤

"Toujours pas d'attentat en France" disait Charb, athée, juste avant son assassinat.

Il avait également écrit "Lettre aux escrocs de l'islamophobie qui font le jeu des racistes".

Rien n'a changé, la gangrène s'étend.

Pathétique.

Jean Rossignol, le 18 mars 2019

Inde La Cour Suprême va réexaminer l'article 377 (de la Constitution) qui criminalise les relations homosexuelles
La légalisation est pour bientôt

NEW DELHI : Grâce à la reconnaissance du droit à la vie privée comme un droit fondamental (lors d'un tout récent jugement), la Cour Suprême a décidé aujourd'hui de réexaminer sa décision de 2013 qui criminalisait les relations homosexuelles et a déclaré qu'elle réexaminerait l'article 377 du Code pénal indien qui fait de ces relations un crime. 
La Cour Suprême  a également publié aujourd'hui un avis au Centre, lui demandant sa réponse à une pétition déposée par cinq membres de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle, transgenre et queer (LGBTQ), qui ont expliqué qu'ils vivaient dans la peur de la police en raison de leur orientation sexuelle et de leurs préférences.

Le tribunal de première instance a également fait référence à une pétition à la Cour sur la Constitution visant à dépénaliser les rapports sexuels consentants entre adultes LGBTQ. En décembre 2013, la Cour Suprême avait rejeté le verdict 2009 de la Haute Cour de Delhi décriminalisant l'homosexualité.

Un tribunal de trois juges, du juge en chef Dipak Misra et des juges AM Khanwilkar et DY Chandrachud a déclaré que le jugement de la Cour Suprême de décembre 2013 confirmant la validité de l'article 377 - qui dit que les rapports sexuels entre adultes consentants de même sexe constituent un crime - blessait les préférences sexuelles des individus. Les trois juges ont pris en compte les opinions exprimées dans un autre arrêt rendu en août, qui a donné au droit à la vie privée, un statut de droit fondamental. Ce jugement était également en faveur du respect de la liberté des individus incluant leur orientation sexuelle. Après le jugement de la Cour Suprême sur la vie privée en août, des militants et des avocats travaillant pour la communauté LGBTQ ont défendu les droits des minorités sexuelles. À l'époque, le militant Gautam Bhan avait déclaré que la lecture par la Cour Suprême du droit à la vie privée en tant qu'aspect de la dignité et de l'égalité, en particulier dans le cas des droits LGBTQ, était la bienvenue.

"Nous aurions pu aller au tribunal pour des arguments de vie privée, mais nous ne l'avons pas fait parce que ce n'est pas une acceptation. C'est juste de la tolérance qui favorise les élites qui peuvent se permettre de mener leur vie derrière des portes closes. Le jugement est beaucoup plus que ça. Il a parlé de vie privée avec de la dignité et l'égalité. Il réaffirme le jugement de la Haute Cour de Delhi en parlant de la sexualité dans le cadre de la constitutionnalité", a déclaré M. Bhan. Après que la Cour Suprême ait annoncé sa décision aujourd'hui, les militants et sympathisants LGBTQ ont accueilli favorablement le changement.

En 2013, lorsque la Cour Suprême avait infirmé le verdict rendu en 2009 par la Haute Cour de Delhi, elle avait jugé que l'article 377 datant de 150 ans, qui criminalise le sexe homosexuel, "ne souffrait pas du vice d'inconstitutionnalité". 
L'article 377 du Code pénal indien, promulgué par les Britanniques il y a 153 ans en 1860, qualifie le sexe anal consensuel d'"infraction contre nature" et punit l'infraction de viol en vertu de l'article 376. Il interdit même le sexe oral entre homme et femme, en soutenant que seul le sexe pénien-vaginal n'était pas "contre l'ordre de la nature".

cf (english)
Supreme Court to review Section 377 which criminalises gay sex
Times of India du 8 janvier 2018
https://timesofindia.indiatimes.com/india/supreme-court-to-review-article-377-which-criminalises-gay-sex/articleshow/62412768.cms

Craintes de répression contre les personnes LGBT en Indonésie après que douze femmes aient été expulsées d'une maison partagée à l'ouest de Java

Les femmes avaient loué une maison à Tugu Jaya ensemble. 

Mais les autorités ont agi sur plainte des voisins, disant que leur arrangement de vie n'était pas "féminin" et "contre l'enseignement de l'islam".
Les dirigeants religieux et un groupe de jeunes islamistes se sont plaint à la police, ce qui a entraîné une descente samedi dernier.
Elles ont reçu trois jours pour quitter les lieux.

Human Rights Watch rapporte qu'aucune justification juridique n'a été donnée pour la descente et l'expulsion forcée.
"Ce qui est le plus offensant à propos de cet incident, c'est que les fonctionnaires de la police et du gouvernement ont recours au droit à la vie privée et aux règles de la loi pour apaiser le fanatisme de quelques voisins", a déclaré Andreas Harsono, un chercheur indonésien à Human Rights Watch dans un communiqué.
« Expulser ces femmes en raison d'hypothèses préjudiciables sur leur identité sexuelle », a t-il poursuivi, « menace la vie privée de tous les Indonésiens et n'a pas sa place dans un pays dont le slogan est « unité dans la diversité ».

Un responsable anonyme du village a déclaré à Human Rights Watch: "Il n'est pas acceptable que des couples de femmes vivent ensemble. Certaines ont les cheveux courts, agissant comme des hommes. Certaines ont les cheveux longs, et agissent comme des femmes. C'est contre la charia [la loi islamique]. C'est obscène."

"Personnellement, je suis inquiet", a déclaré Yulita Rustinawati, du groupe de défense des LGBT 'Arus Pelangi', déclarant s'inquiéter d'une nouvelle répression contre les personnes LGBT.
"C'est comme si nous étions des criminels. Tout ce que nous faisons maintenant devient dangereux, même en vivant avec nos partenaires. "

L'Indonésie au début de cette année a déplacé les flagellations des personnes LGBT loin du regard du public, mais continue de punir les personnes LGBT.

Via Pink News :

http://www.pinknews.co.uk/2017/09/06/fears-of-lgbt-crackdown-in-indonesia-as-12-women-evicted-from-their-home/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+Pinknews+%28Pink+News%29
 

Azerbaidjan : Les funérailles d'Isa Shahmarly, leader LGBT, ont tourné à l'émeute  (Photos) 

traduction de l'article de Haqqin.az du 23 janvier 2014 :

http://haqqin.az/news/16057

Les enquêtes, au cours des funérailles, du président de l'organisation "LGBT libres", Isa Shahmarly, ont été obstruées par sa famille. C'est ce qu'ont raconté Turan, un ami proche du défunt, et Javid Abdullayev de cette organisation.

La famille du défunt n'a pas permis les enquêtes et a exercé une pression physique sur l'employé d'ANS TV, sa caméra a été brisée. Même les journalistes n'ont pas été autorisés dans le cimetière.

Le service Azerbaïdjanais de la BBC a rapporté que l'homme, qui s'est présenté comme l'oncle d'Isa Shahmarly, a nié devant les médias que le défunt ait eu des problèmes avec sa famille dans le passé .

Ses parents ont dit à ses amis qu'ils pouvaient visiter le lieu de l'inhumation dans le cimetière après les obséques, rapporte musavat.com.

Les villageois ont bombardé l'équipage de la voiture d'ANS TV avec des pierres et brisé  la caméra du journaliste. 

Les villageois n'ont pas permis aux gays d'assister aux funérailles de leur leader Isa Shahmarly qui s'était suicidé la veille, a rapporté un média local.

La situation s'est échauffée dans le village. Sur la scène ont été détachés des policiers supplémentaires.

Armés de pierres, des jeunes locaux ont menacé de mort tout représentant des minorités sexuelles, qui a essaierait d'assister aux funérailles de leur ami.

La cameraman d'ANS TV a aussi fait face à la colère de la jeunesse locale, elle n'a pas pu effectuer d'enregistrement.